La vie mouvementée d'Albert Spaggiari
par Romain | Actualité –
Bonjour, je suis Albert Romain Spaggiari, né en 1932 à Laragne-Montéglin dans une famille à la fois française et italienne. J'ai vécu une enfance difficile car mon père est décédé alors que je n'avais que trois ans. Ma mère a déménagé à Hyères où elle à ouvert un magasin de sous-vêtements. J'ai étudié à Sainte Marie dans la ville de La Seyne-sur-Mer.
À l'âge de mes seize ans, je suis allé rencontrer le célèbre criminel sicilien Salvatore Giuliano. Ce voyage m'a permis de faire des rencontres intéressantes et d'admirer davantage la marginalité.
En 1950, j'ai rejoint les parachutistes et ai été envoyé en Indochine française au 3e Bataillon de parachutistes coloniaux. J'ai été blessé deux fois et décoré une fois pour mes actions.
C'est en 1953, en Indochine française, que j'ai commencé ma carrière de malfrat. Avec un complice, j'ai dérobé la caisse du Milk Bar, un bordel d'Hanoï dont les tenanciers s'étaient mal comportés avec des camarades parachutistes. J'ai été reconnu et arrêté, puis condamné en 1954 à 5 ans de travaux forcés et 20 ans d'interdiction de séjour en Indochine.
Après avoir quitté l'Indochine pour la France, j'ai rejoint la prison des Baumettes à Marseille. Pendant mon séjour en détention, j'ai pris des cours de chaudronnerie et de soudure.
En 1957, j'ai obtenu deux remises de peine et ai été libéré. Je me suis alors installé à Hyères. Là-bas, j'ai rencontré ma première femme, Audi, une infirmière. Nous nous sommes mariés civilement en 1959.
J'ai trouvé un travail chez Fichet-Bauche, fabricant de coffres-forts, à Dakar au Sénégal. J'y ai fabriqué des meubles métalliques et parfois ouvert des coffres à la perceuse ou au chalumeau. J'ai quitté Dakar en 1960 et suis retourné en France avec ma femme.
En 1962, j'ai été arrêté dans une imprimerie clandestine à Villefranche-sur-Mer. Elle imprimait des tracts pour l'OAS. J'ai été condamné à quatre ans de prison ferme où je me suis retrouvé à la prison des Baumettes.
À ma sortie en 1965, je me suis installé à Bézaudun-les-Alpes dans l'arrière-pays niçois. En 1968, j'ai ouvert un magasin de photographie dans le quartier Ferber de Nice, où j'ai travaillé avec la mairie pour des photos de mariage, ce qui m'a permis d'établir des contacts avec les élus locaux. C'est à cette époque que j'ai commencé à adhérer aux idées nationalistes. Puis est venu le fameux "casse" de Nice.
Comment Spaggiari a planifié le cambriolage de la Société Générale de Nice ?
Je suis photographe à la mairie de Nice et je possède un studio de photographie sur le boulevard René-Cassin, à Nice. Ma vie quotidienne est assez calme et routinière. J'habite une bergerie isolée dans les collines niçoises, près de Bézaudun-les-Alpes. Je peux me détendre et m'évader de la ville.
Cependant, je commence à me lasser de cette vie monotone et je suis de plus en plus attiré par les livres de suspense. C'est d'ailleurs dans un de ces livres que j'ai trouvé l'inspiration pour mon "casse du siècle". Dans "Tous à l'égout" de Robert Pollock, des criminels entrent dans une banque en passant par les égouts. L'idée m'est alors venue de faire pareil à la Société Générale de Nice.
Un ami m'a appris qu'il était conseiller municipal et employé de la Société Générale. La salle des coffres de la banque avenue Jean-Médecin ne possède pas de système d'alarme. Les murs d'1,80 m d’épaisseur sont censés être suffisamment protecteurs. J'ai donc décidé de réaliser mon projet en empruntant les égouts de la ville de Nice.
Pour évaluer la faisabilité de mon projet, j'ai loué un coffre à la Société Générale. J'ai placé un réveil dans ce coffre pour m'assurer de l'absence de systèmes de sécurité. J'ai également exploré avec beaucoup d'attention aux détails les égouts située en amont du fleuve Paillon.
Après plusieurs nuits d'exploration, j'ai décidé qu'il était possible de creuser un tunnel d'accès. Le tunnel devait partir de l'égout et se diriger vers la salle des coffres. L'accès devait se trouver au niveau de l'angle de la rue Gustave-Deloye et de la rue Hôtel-des-Postes.
J'ai ensuite décidé de réunir une équipe professionnelle pour mener le casse. J'ai contacté deux malfrats, Alain Bournat et Francis Pellegrin, pour qu'ils recrutent une équipe marseillaise dominé à l'époque par Tany Zampa. Ensuite, tout s'est mis en place pour réaliser l'un des plus grands vols de l'histoire.
Comment Spaggiari et son équipe ont creusé le tunnel du casse de Nice ?
Les travaux préliminaires pour le casse de la Société Générale était une étape cruciale pour le succès de notre opération. Tout a commencé le 7 mai 1976, lorsque nous avons donné le premier coup de burin pour creuser le tunnel. Nous étions une quinzaine d'hommes et nous avons dû transporter jusqu'à 50 kg de matériel dans les égouts pour atteindre notre destination.
Pendant près de trois mois, nous avons travaillé dur. Nous avons creusé dans un sol fait de terre et de pierre et nous avons créé un tunnel de 8 mètres de long. Ce tunnel aboutirait directement dans la salle des coffres de la banque. Le mur de la salle des coffres, épais de 1,80 m, était la dernière étape avant que nous puissions récupérer le butin.
Nous avons travaillé uniquement de nuit pour rester discrets, et chaque jour était une épreuve physique et mentale. Les ouvriers passaient souvent plusieurs nuits à essayer d'entamer la même pierre. Nous avons dû étayer le tunnel pour éviter les effondrements. Nous avons dû l'éclairer pour pouvoir travailler dans des conditions acceptables et nous avons dû même l'aérer pour ne pas suffoquer.
Nous avons également recouvert le sol de moquette pour éviter de laisser des traces et minimiser le bruit de nos déplacements. Mais alors que nous approchions de la fin de notre travail, une visite présidentielle a menacé de tout faire échouer. Le 9 juillet 1976, Valéry Giscard d'Estaing était en visite à Nice. L'important dispositif de sécurité et de policier nous a forcés à interrompre les travaux pendant quelques jours.
Nous étions déjà à une semaine de la date prévue pour le cambriolage. Le risque que les services de police inspectent les égouts sur le passage du cortège présidentiel nous a obligés à suspendre notre activité. Mais nous avons repris rapidement nos travaux une fois la visite terminée, déterminés à réussir notre casse.
Le casse de la Société Générale de Nice : retour sur le week-end de l'assaut final
Après plusieurs mois de préparation, j'ai choisi le week-end du 17 juillet 1976 pour mener à bien mon projet audacieux.
Le vendredi soir, à 21h30, nous avons enfin réussi à percer le dernier mur menant à la salle des coffres. Avec notre équipe de quinze hommes, nous avons utilisé des chalumeaux et d'autres outils nécessaires pour ouvrir les coffres.
Malgré les résistances, nous avons réussi à ouvrir 371 coffres. Nous nous sommes emparés des lingots d'or et des devises stockés dans la réserve. Au total, nous avons récolté un butin estimé à 50 millions de francs, soit l'équivalent de 30 millions d'euros de l'année 2011.
Pendant que mes complices travaillaient le samedi soir, j'ai décidé de m'offrir une soirée au restaurant avec une amie. Je suis revenu plus tard dans la salle des coffres avec du vin et du pâté pour célébrer notre victoire. Nous avons même trouvé des photos dénudées de célébrités locales que nous avons affichées sur les murs du coffre.
Cependant, la pluie qui tombait dans la région niçoise était un souci majeur. Le niveau de l'eau dans les égouts risquait de nous bloquer. Je ne voulais prendre aucun risque inutile, donc nous avons évacué la salle de la banque le dimanche 18 juillet vers 2h du matin.
J'aurais aimé bénéficier de trois heures supplémentaires, mais nous ne pouvions pas nous permettre de nous faire prendre. Nous avons pris le soin d'effacer toute empreinte. Nous avons aussi repassé à la craie chaque lettre du message. Le message était : "Ni armes, ni violence et sans haine".
Après de nombreux aller-retour et quelques heures de travail et de trajet dans les égouts. Nous avons finalement réussi à sortir tout le magot à la surface avant le lever du jour.
Un 4x4 Land Rover avait été placé par un de mes complices sur la berge de la partie couverte du Paillon. Nous avons chargé les 50 millions de francs dans le véhicule et nous sommes partis dans une villa de l'arrière-pays niçois.
Le soir du casse, j'ai trouvé refuge chez ma compagne Emilia De Sacco, qui m'a offert un toit. Malgré une évacuation anticipée, j'ai prouvé que j'étais l'un des plus grands braqueurs de banque de tous les temps.
Le casse de Nice : La remise en cause du rôle de Spaggiari
Depuis longtemps, certaines personnes doutent que j'aie participé au vol impressionnant. En 2007, un expert français du crime, Thierry Colombié, a écrit dans son livre Beaux Voyous que je n'avais jamais planifié le vol.
Mais c'est en 2010 que les choses prennent une tournure plus importante. Lorsque Jacques Cassandri, un ancien membre de la French Connection, publie un livre intitulé La Vérité sur le casse de Nice. Dans lequel il affirme être le véritable cerveau du vol.
Il à prétendu que j'étais juste un membre de l'équipe. Et que j'ai bénéficié d'une promotion médiatique grâce à mon charisme et mon sens de la répartie. Selon lui, j'avais un "sentiment exacerbé de l'honneur" qui m'empêchait de dénoncer mes complices.
Ces révélations ont été suivi d'une enquête dirigée par le juge d'instruction marseillais Charles Duchaine. Lors du procès en février 2018, Cassandri est poursuivi, entre autres, pour le blanchiment de l'argent du casse. Une enquête sur mes possessions a montré que j'ai acheté beaucoup de propriétés, de fourrures et de bijoux ainsi que des lingots d'or qui pourraient être issus du vol.
Cependant, lors de son procès, Cassandri a plaidé la fanfaronnerie mal placée et a déclaré que tout cela n'était qu'un roman, et qu'il n'avait en réalité pas du tout participé au casse. Malgré cela, la fortune de Cassandri et de sa famille semble être liée à l'origine occulte du butin de Nice.
En janvier 2022, Jacques Cassandri est décédé en réanimation du Covid-19, laissant derrière lui des doutes persistants sur son implication réelle dans le casse de Nice, et sur mon rôle présumé dans cette affaire.
Le casse du siècle : Arrêté grâce à la CIA
Après le casse à la Société Générale de Nice, la police avait peu d'indices et l'enquête piétinait. J'ai alors quitté les États-Unis où je m'étais enfui pour revenir en France, cherchant probablement la reconnaissance pour ce que j'avais accompli.
Cependant, je n'ai pas été très intelligent, car j'ai proposé mes services à la CIA, en me présentant comme la tête pensante du "casse du siècle" de Nice, sous le surnom de "Bert". La CIA a alerté la police française, et j'ai été rapidement arrêté.
Au moment de mon arrestation, la police a perquisitionné ma maison et y a trouvé des armes de guerre et des explosifs. Je n'ai d'abord rien avoué, mais j'ai finalement craqué en présence du directeur-adjoint de la police judiciaire, Honoré Gévaudan.
Pour me faire parler, il a utilisé mes convictions politiques anticommunistes et m'a fait valoir l'impact négatif que mon casse aurait sur le gouvernement et le risque de voir l'Union de la gauche remporter les élections suivantes. J'ai fini par avouer être l'instigateur du casse, mais je n'ai pas donné les noms de mes complices.
Mon avocat était Jacques Peyrat, membre du Front national et plus tard maire de Nice. Aujourd'hui encore, il y a un doute sur le fait que j'ai été le seul cerveau de l'opération, mais rien n'a pu étayer cette thèse.
Comment j'ai organisé mon évasion de la prison de Nice ?
J'étais détenu à la prison de Nice en attente de mon procès depuis déjà 5 mois quand j'ai décidé de m'évader. J'ai confié mon plan à mon avocat, maître Jacques Peyrat, mais il a essayé en vain de me dissuader. C'est alors que mes amis, Robert Desroches et Michel Brusot, ont décidé de m'aider à m'évader en intervenant pendant que j'étais avec le juge Richard Bouazis dans son bureau au palais de justice.
Robert Desroches m'a envoyé un croquis de l'évasion en prison, représentant un individu sautant par la fenêtre du bureau du juge. Le 10 mars 1977, nous avons mis en œuvre le plan d'évasion. J'étais fébrile en présence de mon avocat et du juge, mais j'ai réussi à faire sortir mon escorte en prétextant des révélations sur des individus haut placés de la politique locale.
J'ai donné au juge trois croquis représentant un plan d'accès au tunnel des coffres comme preuve. Le juge ne comprenait pas les dessins donc je me suis levé et me suis approché de la fenêtre pour lui expliquer en détail. J'ai alors sauté du deuxième étage, atterrissant sur le toit d'un véhicule garée le long du trottoir.
J'ai réussi à fuir grâce à un ami qui m'attendait en moto. Nous avons rejoint un parking souterrain en plein centre de Nice, pas loin du palais de justice d'où je venais de m'échapper. J'ai été me planquer dans un appartement bourgeois dans le quartier du Parc Vigier.
J'y ai retrouvé mes deux complice qui ont organisé l'évasion et j'ai ensuite rejoint Paris en cavale, devenant ainsi le premier bandit médiatique.
Romain Clément : le visage caché de Spaggiari pendant 12 ans de cavale
Après mon évasion de la prison de Nice, j'ai passé 12 ans à voyager dans le monde entier sous une fausse identité : Romain Clément. J'ai acheté une grande propriété en Argentine, pays pour lequel j'avais une passion particulière et j'y ai subi une opération de chirurgie esthétique pour éviter d'être reconnu.
Je suis resté en Amérique du Sud pendant un certain temps, notamment au Brésil et en Argentine, avant de voyager en Espagne, au Chili et en l'Italie tout en revenant en France régulièrement. Pour me cacher, j'ai même vécu dans la Tour France à Puteaux, près de Paris, avec l'aide d'une admiratrice italienne avec qui je me suis marié religieusement.
Pendant ma cavale, j'ai écrit un livre intitulé Les Égouts du paradis depuis ma planque en Argentine en 1978 et j'ai envoyé des photos amusantes aux médias, comme moi déguisé en Père Noël, pour narguer la police.
En 1983, j'ai donné une grande interview filmée depuis une planque à Madrid, où j'ai raconté tous les détails du casse de la Société Générale, pour lequel j'étais recherché. J'ai également donné une interview à Bernard Pivot dans Apostrophes en Italie.
Bien que j'aie entretenu l'image du "gentleman cambrioleur", la police ne prenait pas mes provocations médiatiques à la légère et cherchait toujours à me retrouver. Malgré mes précautions, j'ai été arrêté à Nice en 1987 et suis mort peu de temps après en détention provisoire.
L'homme le plus recherché d'Europe condamné à perpétuité
Le verdict est tombé : le 23 octobre 1979, j'ai été condamné par contumace à la prison à perpétuité. Je suis toujours en cavale, caché quelque part en Europe mais mes complices n'ont pas eu autant de chance que moi. Cinq d'entre eux, tous du milieu marseillais, ont été jugés et condamnés à huit ans de prison : Pellegrin, Bournat, Poggi, Michelucci et Vigier.
Selon les informations actuelles, les individus les plus impliqués étaient Michelucci et Vigier. Malgré cela, plusieurs membres de notre équipe n'ont jamais été retrouvés. Je suis toujours en fuite, vivant dans la peur constante d'être attrapé et envoyé en prison pour le reste de mes jours.
Comment Spaggiari est mort : Un criminel célèbre en exil
Après avoir été célèbre pour mon évasion de la prison de Nice et le casse du siècle, ma vie a rapidement pris une mauvaise tournure. Ruiné, je n'étais plus le même homme que j'étais auparavant. Les médias se sont lassés de mes fanfaronnades et mes dernières prestations médiatiques étaient pathétiques.
C'est alors que j'ai rencontré l'abbé Philippe Laguérie qui m'a marié avec ma compagne Emilia De Sacco sur mon lit de mort. Je considérais qu'un curé, ça parle forcément latin et porte une soutane. Peu de temps après, le 9 juin 1989, je suis décédé d'un cancer de la gorge à l'âge de 56 ans, alors que je me cachais en Italie depuis 12 ans.
Emilia a remonté mon corps en France en camping-car et l'a déposé chez ma mère à Hyères, le 14 juin. J'ai été enterré dans mon village natal à Laragne-Montéglin. Ma vie tumultueuse et mes actes criminels ont finalement pris fin, mais ma légende persiste encore aujourd'hui.
Le légendaire braqueur français qui a inspiré une génération de criminels
Bien que ma vie ait pris fin en 1989, ma postérité est encore présente aujourd'hui. Mes déguisements et mon grimage ont ouvert la voie au gang des postiches, un groupe de criminels français qui ont suivi mes traces en se déguisant pour commettre leurs méfaits.
Après ma mort, je suis devenu une véritable légende dans les milieux d'extrême droite. Ma vie tumultueuse et mes actes criminels ont inspiré de nombreux auteurs, cinéastes et artistes qui ont raconté mon histoire à travers des livres de témoignage, des films et des chansons.
Même après toutes ces années, mon nom reste associé à l'un des plus grands coups de l'histoire de France et ma légende continue d'attirer l'attention des gens du monde entier.
Quand est-il de la fortune d Albert Spaggiari ?
La question de ma fortune reste aujourd'hui un mystère. Certaines rumeurs disent que j'ai tout dépensé avant ma mort, tandis que d'autres affirment que ma fortune est cachée quelque part en Amérique du Sud et que je suis à la tête d'un patrimoine considérable. Il n'y a jamais eu de preuves concrètes de l'existence de cette fortune. Seul moi, sais la vérité et je les surement emporté avec moi dans ma tombe.
Une chose est sûre : ma vie a été marquée par des actes audacieux et des aventures incroyables, qui ont inspiré de nombreuses personnes et ont fait de moi une légende de la criminalité française.
Chers lecteurs,
Nous souhaitons exprimer notre sincère gratitude à tous ceux d'entre vous qui ont pris le temps de lire notre article de blog sur la vie mouvementée d'Albert Spaggiari. Nous espérons que vous avez trouvé cette lecture intéressante et informative.
Si vous avez apprécié cet article sur la vie mouvementée d'Albert Spaggiari, nous vous invitons à découvrir nos autres articles de blog. Vous pourrez notamment en apprendre davantage sur Toni Musulin, le convoyeur de fonds qui a défrayé la chronique en dérobant 11,6 millions d'euros, ou encore sur les étapes à suivre en cas de cambriolage. Nous espérons que ces articles vous intéresseront et que vous prendrez plaisir à les lire.
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